LE GILET AIR BAG

Pourquoi chaque motard en Polynésie française devrait porter un gilet airbag

La moto, synonyme de liberté dans nos îles, reste malheureusement l’un des modes de transport les plus dangereux — surtout ici. Les routes de Polynésie sont trois fois plus meurtrières qu’en métropole Wikipédia+3L'Essor+3OnISR+3.

En 2023, la Polynésie a compté 35 morts, et 34 en 2022, sur seulement ~280 000 habitants — un bilan alarmant malgré le faible effectif L'Essor. Et dans 73 % des accidents mortels, ce sont des motos, scooters ou vélos (électriques ou non) qui sont impliqués Facebook+11L'Essor+11Wikipédia+11.

Plus globalement, dans les territoires d’Outre‑mer comme la Polynésie, 66 % des décès routiers concernent des usagers vulnérables : piétons, cyclistes ou utilisateurs de deux‑roues OnISR. En Polynésie française, on observe aussi qu’en moyenne 22 % des victimes mortelles sont des conducteurs de cyclomoteurs, ce qui témoigne de notre exposition spécifique aux 2‑roues Facebook+10OnISR+10Wikipédia+10.

Le gilet airbag : un réflexe vital à adopter

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rotection renforcée
En cas de chute ou de collision, le gilet airbag se déclenche en une fraction de seconde pour protéger des zones critiques comme le thorax, le dos et l’abdomen, réduisant ainsi très significativement les blessures graves ou mortelles.

Adapté à notre contexte local
Ici, où les deux-roues sont omniprésents et les routes souvent étroites, sinueuses et peu sécurisées, le gilet apporte une couche de sécurité indispensable.

Accessibilité et durabilité
Légers et ergonomiques, les gilets airbag modernes peuvent être portés au-dessus d’un blouson ou intégrés. Ils sont souvent réutilisables après déclenchement, ce qui en fait un investissement durable.

Effet concret sur les statistiques
Dans un contexte où les accidents impliquant deux-roues restent massifs, surtout sous l’influence de l’alcool ou de substances (jusqu’à 75 % des cas graves) L'Essor, adopter un gilet airbag devient plus qu’une précaution — c’est une nécessité.